Parce que chanter, pour moi, c’est respirer…
Celui ou celle qui m’empêche de chanter, ne fait ni plus ni moins que m’empêcher de respirer, de vivre, d’être moi. Alors quand on me fait ça, surtout de façon brutale, sans ménagement, d’une manière particulièrement égoïste et disons-le, carrément dégueulasse, tous mes sens, mon corps, se mettent en mode survie, autodéfense, et la première impulsion qu’ils envoient à mon esprit est de prendre mes distances, vite, impérativement sans aucun retour en arrière possible…

Vous ne trouvez pas que ce laïus ferait une bonne introduction pour une suite…? Ce qui ne veut pas dire que je vais écrire une suite… Mais sait-on jamais ce que nous réserve l’avenir ? Même s’il est écrit, nous n’en avons pas connaissance…
Alors comme on dit, wait and see…
En attendant, Vous pouvez toujours lire le premier 😉
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